Pour le personnage. C’est ce qui s’appelle exploiter le filon jusqu’à l’os. Après onze saisons, « The Walking Dead » se recentre sur l’un des héros de la série : Daryl Dixon.
Daryl Dixon est tombé à l’eau. Il s’échoue sur une plage. Nous sommes dans le sud de la France. Le spectateur ne sait pas comment l’un des héros de la série The Walking Dead est arrivé là. Mais qu’importe, c’est la nouvelle idée des scénaristes : prendre un personnage de la série et le transposer loin des États-Unis.
Ceux qui ont suivi les onze saisons de la série adaptée de comics de Robert Kirkman vont certainement plonger tête baissée dans ce spin-off. Nous les premiers. Daryl Dixon (joué par Norman Reedus), c’est le type ténébreux au regard clair sur qui on peut compter. Un peu taiseux, le motard dégomme les zombies avec dextérité grâce à son arbalète. Avec sa dégaine de cow-boy postapocalyptique, cuir et jean, des ailés brodées déchirées dans le dos, il est plus qu’attachant.
Cartes postales à la française
Daryl trouve refuge dans une communauté religieuse. Il rencontre une nonne au passé pas très catholique (interprétée par Clémence Poésy). Bien entendu, les Rôdeurs (morts-vivants) sont aussi présents en Europe, les survivants luttent, s’affrontent. Au milieu de ce chaos, Laurent, un jeune garçon pas comme les autres, qu’il faut protéger absolument. Qui va s’en charger ? Daryl bien sûr.
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